Un film de Michalis Cacoyannis de 1977.
Voici ce qu'en dit le critique du centre du cinéma Grec :
" Contournant Les Troyennes, production internationale tournée avec une brochette d’acteurs eux aussi internationaux, le réalisateur retrouve le fil de son Électre. Il situe le drame dans un espace qui lui est familier, dans une langue qui lui est familière et descend d’un ton afin de souligner l’élément humain, de mettre en exergue la victime innocente, conduite malgré elle à la boucherie pour servir des desseins politiques qui lui échappent... "
"...la mère qui telle une lionne essaie de protéger la vie de son enfant des rets du pouvoir patriarcal, une Clytemnestre (Irène Papas) éternelle, archétypale, qui, forte d’une argumentation sensiblement identique, traverse l’œuvre des trois grands poètes tragiques..."
" ...Sans effets spéciaux, avec pour seul soutien la musique magnifique de Mikis Theodorakis, Cacoyannis laisse les épaules solides de deux grands acteurs porter le drame : Irène Papas dans sa grande maturité, déjà devenue un archétype du cinéma, et Kostas Kazakos, à la présence terrienne, déchiré entre le sentiment paternel et la loi inéluctable qui détermine l’existence du chef et préserve le pouvoir..."
Lien vers quelques scènes.centre du cinema grec
Cinéma au kafenio :
Sublime Mélina dans un film de 1957...
Mélina Mercouri.Les pianos mécaniques.1965.
Irène Papas,"La" tragédienne dans Electre.