Source peplum.info
L'évocation de la bataille de marathon La bataille de Marathon, 2500 ans déjà... m'a donné envie d'explorer l'univers des peplum inspirés de l'antiquité Grecque.
L'épopée d'Alexandre.
Il est considéré comme le plus grand conquérant de tous les temps.
"Celui qui fut «le nouvel Achille», le légendaire Alexandre III, dit «le Grand», l'élève du grand Aristote, est né en 356 av. n.E.
Le fils de Philippe II de Macédoine assura au monde grec sa plus grande extension en conquérant l'Empire perse où il prôna la tolérance et le respect de tout un chacun (politique, politique ! mais quand même...), et en jetant les fondements d'une civilisation nouvelle : la civilisation hellénistique.
Il mourrut de malaria [ou assassiné par des émissaires carthaginois, inquiets de son expansion possible vers l'ouest] à Babylone, à l'âge de 33 ans "
Peplum.info
Pour plus de détails voir memo et un délicieux Alexandre et les femmes (un sacré gaillard!).
Le Film.
Réalisé par Robert Rossen en 1956.
Il occupe une place particulière, notamment par son compagnonnage avec le parti communiste Américain. Voir sa bio et sa Filmographie .
La distribution compte nombre de stars: Richard Burton, Fredric March, Claire Bloom, Danielle Darrieux, Barry Jones, Harry Andrews, Stanley Baker, Niall MacGinnis, Peter Cushing, Michael Hordern..
Le résultat : plus que mitigé, si l'on en croit cette critique:
"Le thème du film Alexandre le Grand de Robert Rossen est la relation difficile entre le roi Philippe de Macédoine et son fils Alexandre. Philippe n’a pas confiance en son fils, et celui-ci estime que son père ne lui donne pas sa chance. L’attitude d’Alexandre à l’égard du complot visant à assassiner Philippe est ambiguë. C’est un thème intéressant pour un film sur Alexandre, mais l’histoire emprunte beaucoup d’éléments à la tradition du Pseudo-Callisthène et aux romans d’Alexandre, et le résultat est mitigé.
Tant la chronologie que la topographie du film sont approximatifs. De nombreux personnages sont mélangés. Les scènes de bataille ne sont pas convaincantes. Alexandre conquiert un monde de terres désolées et de ruines abandonnées plutôt qu’un empire florissant. Quiconque s’attend une relation fidèle de l’histoire antique sera déçu dès le début du film.
Le film est déséquilibré. Les quatre ans entre le départ d’Alexandre de Mieza et le meurtre de Philippe s’étalent sur une heure, tandis que la totalité de la campagne perse est traitée dans les 50 minutes restantes."
Mais quel plaisir (de second degré) de voir un Richard Burton trop vieux pour le rôle
Une Danielle Darrieux qui fait ce qu'elle peut
Le très élégant Frederick March Hirsute!
Le film éponyme d'Oliver Stone ne semble pas plus réussi.Voir leur comparaison